[activecampaign form=3] Toujours dans l’optique de s’entourer de structures tournées vers l’international, l’Imed a conclu un nouveau partenariat avec l’ANIA, acteur majeur du secteur agroalimentaire en France. Zoom sur les projets à venir.
Cette récente collaboration, signée entre l’Imed et l’ANIA au printemps dernier, sent bon la naissance de nouveaux projets internationaux ! Elle témoigne incontestablement de l’attrait que les entreprises portent de plus en plus au V.I.E temps partagé. On vous explique pourquoi dans cet article.
Sommaire
Un partenariat aux grandes perspectives
L’ANIA, un fervent défenseur du secteur agroalimentaire français
L’Association Nationale des Industries Alimentaires, dit ANIA, existe depuis 1968 et rassemble pas moins de 39 syndicats métiers et 16 associations régionales.
Elle représente les entreprises alimentaires françaises de toute envergure : les grands leaders mondiaux, les ETI et TPE-PME de différentes filières (le lait, les plats traiteurs, la charcuterie… à l’exception des vins et produits de première consommation de viande).
Ses vocations sont multiples. L’ANIA s’est donnée pour objectif principal de promouvoir le secteur agroalimentaire, premier employeur industriel de France. Elle accompagne les entreprises qui s’engagent chaque jour à proposer une alimentation toujours plus saine, plus sûre et plus durable. La sécurité sanitaire, les relations commerciales, les informations aux consommateurs, la RSE, les emballages sont autant de thématiques qui intéressent et mobilisent l’association.
Des intérêts communs
À première vue, le lien entre l’Imed et l’ANIA n’est pas évident. Et pourtant ! L’export est un levier de croissance indéniable pour cette filière. C’est pourquoi l’ANIA soutient également les entreprises françaises qui souhaitent se développer à l’international.
En se rapprochant de l’Imed, l’association souhaite apporter des solutions concrètes à ses entreprises membres ayant des projets d’export.
Pour Vanessa Quéré, Directrice Export et Régions, “ce partenariat s’est construit de manière tout à fait naturelle. Nous avions des besoins en interne, et l’Imed des solutions pertinentes à disposition.”
En effet, les V.I.E temps partagé proposés par l’Imed, sont des leviers efficaces et très intéressants pour les PME, et ce, à double titre :
- c’est une solution idéale pour défricher un nouveau marché export;
- c’est une solution clé en main, et qui limite les risques pour l’entreprise.
Une relation privilégiée
Afin de témoigner de son enthousiasme pour cette nouvelle coopération, l’Imed a développé des actions spécifiques. Deux fois par an, l’Imed viendra présenter de nouveaux profils V.I.E temps partagé aux membres de l’association et du club des exportateurs ANIA Business France qui regroupe plus de 350 entreprises. Si l’une d’entre elles se montre intéressée par un candidat, elle deviendra automatiquement prioritaire sur les entreprises extérieures.
Le cas d’aucy : une première expérience en cours
L’engouement entre les deux protagonistes s’est vite avéré judicieux, puisque ce partenariat a déjà réussi à convaincre une entreprise membre du club. Il s’agit de l’entreprise d’aucy qui a retenu la candidature d’un V.I.E temps partagé présentée par l’Imed, Aline Greco.
Contexte et problématique de départ :
Le groupe d’aucy n’est pas à son premier coup d’essai puisque l’entreprise a déjà sollicité les services d’un V.I.E temps partagé pour son déploiement sur le marché asiatique (Singapour). Les objectifs ont été brillamment atteints par le volontaire, qui a depuis intégré la société de manière définitive. Fort de cette précédente expérience et convaincu du modèle pour comprendre un marché et commencer à se développer, les responsables export ont décidé de réitérer l’opération. Cette fois-ci, c’est un nouveau marché qu’il faut conquérir et non des moindres : celui des États-Unis.
La mission :
Pour une période de 6 mois reconductible, le volontaire recruté par l’Imed va représenter d’aucy à Chicago. Il aura pour mission principale, d’aider la marque à se positionner et d’identifier des opportunités concrètes de développement sur le plus gros marché mondial de la conserve.
Pour cela, des objectifs ont été préalablement définis comme :
- Identifier les contraintes réglementaires et administratives liées à la conserve de légumes ;
- Réaliser une analyse terrain du marché (tendances, réseau de distribution, benchmark des produits français, qualification des besoins du marché) ;
- Identification des partenaires et distributeurs potentiels ;
- Cartographie des principaux décideurs à contacter.
Cette expérience issue du partenariat ANIA et Imed, se veut être la première d’une longue série. Aussi, ces deux acteurs aspirent à ce que les missions de V.I.E temps partagé aboutissent à de belles réussites commerciales à l’export.
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